30 mai 2012

Pop-corn


Au cinéma, il y a des films que l’on qualifie de films pop-corn. C’est le genre de films où l’on débranche son cerveau (à part le reptilien) pour apprécier. On s’en prend plein les yeux, plein les oreilles et on savoure. En S3F il y a aussi des livres pop-corn. La saga Drenaï de David Gemmel en est un bon exemple : des guerriers redoutables (certains bas de plafond) mais droits dans leurs bottes, des méchants méprisables et des répliques percutantes mais jamais de messages ni de second degré. Ça bastonne et on ne réfléchit plus. Moi aimer pop-corn ! Gruuu !

27 mai 2012

Sigh !


Dernier jour au pays où le soleil se couche plus tard. Courbatures, égratignures, échardes plein les mains, bref d'excellentes vacances !

25 mai 2012

Ainsi naissent les fantômes – Lisa Tuttle

Recueil de nouvelles fantastiques, je voudrais évoquer ici la première nouvelle qui m'a profondément marqué. Brièvement et pour ne pas ruiner l'histoire pour ceux qui ne l'auraient pas lu (tss tss tss !), c'est une histoire d'enlèvement d'enfant (sujet ô combien délicat). Depuis que je l'ai dévorée, je n'arrête pas de me demander pourquoi je suis aussi facilement rentré dans la dimension fantastique et que la pilule de la « dure » réalité a été aussi amère à avaler. Mme Tuttle, par cette nouvelle, nous fait habilement comprendre que le fantastique n'est pas forcément la voie obscure mais peut présenter un aspect optimiste. En une seule phrase, elle nous démontre que la réalité est pourrie jusqu'à la moelle et que le fantastique y est préférable. Un superbe effet stylistique et une conclusion terrible. Je recommande à tous à condition d'avoir le cœur bien accroché (pour preuve, je suis encore traumatisé). Pour moi, cette nouvelle est la plus forte de ce recueil et j'aurai préféré qu'elle y figure en dernière position.

21 mai 2012

Archéologie


En vacances dans la demeure familiale, je suis retombé (comme quoi c'est bien rangé !) sur mon premier bouquin de SF (mon premier bouquin à moi !). Il s'agit de « Starman » d'Alan Dean Foster (J'ai lu 1854, dépôt légal mars 1985), la novélisation du film éponyme. En le feuilletant, je me suis rappelé que J'ai lu, à la fin de chaque livre, mettait un extrait du catalogue et ça m'a rappelé combien j'ai pu baver en décortiquant cet extrait (tous les grands noms y sont : Poul Anderson, Isaac Asimov, Arthur C. Clarke, Philip K. Dick, Ira Levin, ...). 
Ça ne nous rajeunit pas, enfin, surtout moi.

19 mai 2012

Orchéron – Pierre Bordage


J'ai appris par hasard (en fait, en lisant la quatrième de couverture) que ce livre était la suite d'Abzalon. Le coté amusant est que l'histoire se déroule bien après l'odyssée spatiale d'Abzalon, d'Ellula et des autres. La plupart des personnages du premier volume sont devenus les dieux et déesses révérés ou haïs des origines. Abzalon est devenu le grand Ab en oubliant au passage son passé criminel, etc. On retrouve beaucoup des thèmes de prédilection de Pierre Bordage : le parcours initiatique (semé d'embûches), la rédemption, le féminisme, la dimension mystique... Une bonne lecture qui a rendu agréable mon trajet en train.

17 mai 2012

Boîte d'édition


Fleuve Noir...
Rivière Blanche...
Si je devais créer une boîte d'édition ce serait « Ruisseau Pourpre » ou « Ru Vert » pour rester dans l'ambiance...

15 mai 2012

La citation du jour


Spéciale dédicace pour ceux qui galèrent dans les embouteillages (ce que je peut être sadique quand je suis en vacances…).
« How come everyone's going so slow if it's called rush hour? »

14 mai 2012

Rogntudjuuuu !


Avec les ré-éditions successives et l’ampleur de mon stock, il m’est de plus en plus difficile de me rappeler, rien qu’en regardant le titre et la quatrième de couv, de savoir si je ne possède pas déjà le bouquin. Par conséquent, il m’arrive (c’est rare, mais ça arrive) de racheter un livre que j’ai déjà et ça, ça m’énerve au plus haut point. Je ne suis pas énervé contre les éditeurs qui par là nous permettent de compléter des oublis lors de la première sortie (thanks !), mais plutôt contre moi-même « j’aurai du le savoir ! ».
Dans ces cas là, j’offre mon double à un collègue (celui qui s’est un peu emmerdé à la lecture de Spin et que je cornaque de temps en temps dans les salons) et me dit que ce serait bien que j’embarque ma collection dans mon smartphone. Je pense à truc du genre babelio c’est à dire une partie « en ligne » pour l’alimentation de la bibliothèque et une autre sur téléphone mobile pour la consultation. Encore un projet que j’ai dans les cartons. Si vous êtes intéressé, faites-moi signe (ma motivation manque d’un coup de pouce…)

13 mai 2012

Futuriales 2012


En ce glorieux 12 mai, je suis allé, la fleur au fusil et la tête dans les étoiles  (le fait d’être en vacances n’est pas étranger à mon lyrisme) au futuriales d’Aulnay sous Bois. En sortant du RER, je croise M. Jean-Luc Rivera (Le salon de Sèvres, c’est lui et il tient une rubrique sur ActuSF) :
-         Bonjour M. Rivera, j’imagine que nous allons au même endroit !
-         Il y a des chances, oui
S’en suit sur le court trajet, une discussion sur les invités et la météo où il me raconte qu’une année, c’était tellement apocalyptique qu’il a fait une conférence dans 5 cm d’eau.
Lors du salon proprement dit :
J’ai rencontré Pierre Grimbert et son épouse. J’ai conversé avec eux de Ji bien sûr et de leur boîte d’édition (en fait une continuation du diplôme de Pierre mais une activité chronophage s’il en est). A ce propos, Pierre est un quart breton (chauvinisme quand tu nous tiens).
J’ai aussi croisé (intentionnellement) Vincent Gessler (la pile électrique Suisse), qui hélas, ne sait pas quand il aura le temps d’attaquer son nouveau projet littéraire (plein d’autres projets dans son escarcelle).
Norbert Merjagnan, Thierry Di Rollo à qui je contait mes déboires dans les transports en commun et qui m’a fait des dédicaces en conséquence.
Laurent Genefort, qui m’a expliqué qu’il ne se considérait pas comme un écrivain mais que son kiff est de travailler dans le secteur de l’imaginaire : l’édition, le scénario, etc.
Ludovic Lamarque & Pierre Portrait à qui j’ai répété, en substance, le contenu de mon post. La bonne nouvelle, c’est qu’ils travaillent sur un roman dans le même univers qu’Ad Noctum, la mauvaise, c’est qu’ils ne sont pas très rapides… Ce qui est amusant, c’est qu’un des auteurs habite en région parisienne et l’autre dans la région bordelaise, mais apparemment, cela ne leur pose pas de problèmes pour travailler ensemble (j’en ai profité pour leur donner l’adresse de mon blog).
Pierre Bordage (invité d’honneur de cette édition) qui cette année termine deux cycles : « la fraternité du Panca » et « Ceux qui… » mais don’t panic, il a encore pas mal de projets en stock. Sur la technique d’écriture, il m’a expliqué que grosso modo, il y a deux écoles (j’ai oublié les termes scientifiques) : ceux qui ont besoin d’une trame avant de commencer à écrire et qui brodent sur cette trame, et ceux qui ont une vague idée de la fin (voire pas du tout) mais qui sont portés par l’écriture. Monsieur Bordage, lui, fait partie de la deuxième catégorie.
Jacques Barberi, dont je n’avais pas de nouvelles depuis les publications chez présence du futur (damned, il m’en manque !). Comme beaucoup de gens du secteur, il fait de la traduction. Au fil de la conversation il m’a dit être tombé par hasard sur mon article sur les diplômes des auteurs de SFFF. C’est le début de la célébrité pour mon blog (j’ai les chevilles qui enflent).
Enfin, j’ai rencontré Xavier Dollo A.K.A. Thomas Geha (et réciproquement), avec qui j’ai discuté de notre Bretagne natale. En fait, j’ai appris qu’il était né à Guingamp, moi aussi ! (en fait je suis né à Pabu, mais c’est plus facile pour les gens qui ne connaissent pas la région de dire « Guingamp ») Qu’il était allé au lycée à Guingamp, moi aussi ! A Notre Dame, moi aussi ! Donc on a eu, à peu près, les mêmes profs mais lui, il a bien tourné ! Le monde était déjà petit, il en devient microscopique.
En conclusion, une très très bonne journée.

11 mai 2012

Grand chelem


Sur l'excellent recueil de nouvelles « Ainsi naissent les fantômes », j’ai réussi lors des premières Dystopiales à avoir une dédicace de Lisa Tuttle, l’auteur et de Mélanie Fazi, l’anthologiste et traductrice.
Lors des deuxièmes Dystopiales, Stéphane Perger, l’illustrateur m’y a collé un joli dessin.
Il ne manque plus que les dédicaces de l’éditeur et de l’imprimeur (peut-être pour les troisièmes Dystopiales…).
Le truc avec Stéphane Perger, c’est qu’il dessine au pinceau, il faut donc garder le livre ouvert le temps que ça sèche. Un autre truc à son sujet, fascinant cette fois, c’est que quand il commence, on ne voit rien et soudain tout prend forme et s’ajuste au quart de trognon de poil. Fortiche, le gars !

10 mai 2012

Ad Noctum – Ludovic Lamarque & Pierre Portrait


Je viens de finir « Ad Noctum – Les chroniques de Genikor » de Ludovic Lamarque et Pierre Portrait (de mon point de vue des gamins car ils sont nés en 72) et pour un premier livre, c’est une réussite.
Le livre est en fait un recueil de nouvelles dont les points communs sont la guerre sino-américaine et Genikor, une entreprise tentaculaire non seulement géographiquement mais aussi de par son intrusion dans la vie des gens (Genikor way of life).
Quelques personnages principaux sont récurrents dans les autres nouvelles principalement sous forme de référence (c’est pour voir si vous suivez…).
Comme les techniques de narration sont différentes on ne s’ennuie pas. L’univers créé par ces deux auteurs étant tellement riche, je pense qu’il y a matière à des suites voire, pourquoi pas, des romans.
Bon, on pourrait quand même leur reprocher un truc : les nouvelles se terminent un peu abruptement et laissent trop de portes ouvertes. Je n’ai rien contre le principe quand le nombre de portes n’est pas trop important. Comme le dit Robert Charles Wilson : « Je n’aime pas beaucoup les livres qui proposent une fin définitive et bien emballée. Pour moi, ils ferment la porte à l’imagination, justement. L’histoire se termine, d’accord, mais la vie continue. », et comme le dit ma modeste personne : « faut quand même pas abuser ».
La citation du jour : « Donner la vie est un droit qui ne donne que des devoirs ».
J’ai passé un très bon moment à la lecture de ce livre et c’est tout ce que je retiendrai. Maintenant les gamins, faut se mettre au boulot et sortir la suite.

8 mai 2012

Perdido Street Station – China Miéville


C’est crânedi et je viens de finir « Perdido Street Station » de China Miéville et j’ai commis deux erreurs.
La première a été de tarder entre la lecture du premier tome et du deuxième. Il a été très difficile de me rappeler les personnage et les espèces.
La seconde erreur a été de lire le second tome dans un état de fatigue. Quand je suis fatigué, j’ai du mal à assimiler des passages comme « L’esprit d’Andrej, comme celui de tout Humain, Vodyanoi, Khépri, Cactacé ou autre être pensant sain d’esprit, était une unité dialectique de conscient et d’inconscient constamment convulsés : mise sous le boisseau et une canalisation des rêves et désirs, re-création récurrente du subliminal par le contradictoire, ego tout à la fois rationnel et capricieux. Et vice versa. ».

Culturé


Rencontré lors des Dystopiales 2, Jérôme Noirez.
« - Moi : Bonjour, je suis propre et vacciné, je peux rentrer ?
- Jérôme Noirez : Je savais que ça me retomberai sur la gueule »
L’explication ici (le lien explique aussi le titre de l’article).
Je me suis aussi présenté comme pékin n° 1 (c’est ici, NDR : à cette occasion j'ai découvert en lui un grand amateur de films de série Z).
Il y avait aussi Aurélien Police, dont j’adore l’affiche des Futuriales 2012, auquel j’ai demandé s’il fallait voir dans cette affiche un message genre les banlieusards sont des zombies. D’après lui non, après pour les organisateurs (qui lui ont demandé des mort-vivants), c’est pas impossible.

7 mai 2012

L’explication, enfin !


Au salon de Sèvres 2011, j’ai eu la chance de rencontrer Philippe Curval (82 printemps à l’époque des faits) et j’ai enfin pu lui poser la question « Mais pourquoi un titre comme « Regarde fiston, s’il n’y a pas un extra-terrestre derrière la bouteille de vin » ? ». Je n’aurai jamais pensé à sa réponse (en substance) : « C’est pour cacher la couverture que je trouvais moche ».


Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il a réussi !

6 mai 2012

Pas la moitié d’un con


Les auteurs de SF sont intelligents, ça, tout le monde le sait, certains le prouvent :
  • Isaac Asimov : Docteur en biochimie.
  • Stephen Baxter : Professeur de mathématiques, de physique et d’informatique.
  • Gregory Benford : Docteur ès science.
  • James Blish : Chercheur dans le domaine médical.
  • David Brin : Docteur en astrophysique.
  • Cordwainer Smith : Docteur en sciences politiques.
  • Lyon Sprague de Camp : Ingénieur en aéronautique.
  • Jack Williamson : Docteur en littérature anglaise.
Et les français ne sont pas en reste :
  • Jacques Barberi : Docteur en chirurgie dentaire.
  • Pierre Barbet : Docteur en pharmacie.
  • Francis Berthelot : X, docteur en biologie moléculaire.
  • Ugo Bellagamba : Professeur d’histoire du droit.
  • Pierre Boulle : Ingénieur Supélec.
  • Jean-Claude Dunyach : Docteur en mathématiques appliquées.
  • Laurent Genefort : Thésard.
  • Philippe Goy : ENS, docteur ès science, chercheur en physique.
  • Sylvie Lainé : Professeur d’ingénierie des systèmes d’information et de documentation, directrice de recherche.
  • Pierre Stolze : ENS, thésard.
Toutes mes excuses aux auteurs que j’ai oublié (c’est parce que je n’ai pas l’honneur connaître leur CV).

5 mai 2012

Problème de casting


Journée du livre d’Asnières Sur Seine 2012. Mélanie Fazi. Attention, comprenez moi bien, le problème de casting n’est pas Mélanie Fazi (personnellement, je préférerai qu’elle traduise moins pour qu’elle écrive plus). Non, le problème c’est qu’elle a été invitée dans le rayon jeunesse, et quand je dis jeunesse, c’est 12 ans grand maximum. Ceux qui ont lu les œuvres de Mélanie (« Trois pépins du fruit des morts », « Serpentine », « Notre-Dame aux écailles » ou encore « Arlis des forains ») comprendront le problème.

4 mai 2012

Kolossal rikolad !


Entendu à la dédicace de Vincent Gessler (« Mimosa ») à la librairie Scylla :
- (Visiteur) Woah ! Il y a beaucoup de livres ici !
- ... (silence gêné)
- (Visiteur) Vous avez des livres de religion ?
- (Vincent Gessler) Oui, on a l’empereur-dieu de dune et puis aussi des bouquins écris par des mormons.

Il a même dédicacé des bouquins qui n'étaient pas de lui (« Tiens ! Je l'ai pas lu celui là. Il est bien ? Bon, a quel nom la dédicace ? »). Il est comme ça Vincent.

3 mai 2012

Spinning around



D’abord réticent parce qu’un ami (il se reconnaîtra) l’avait trouvé long, j’ai fini « Spin » de Robert Charles Wilson dont j’avait adoré « BIOS », « Darwinia », « La cabane de l’aiguilleur », « Les fils du vent », « Le vaisseau des voyageurs », « Mysterium », « Ange mémoire », « Blind lake » et « YFL-500 ». Une fois de plus j’ai accroché.
Une nuit, les étoiles disparaissent, ainsi que la lune. Le lendemain, le soleil se lève, mais ce n’est pas vraiment le soleil… Les scientifiques découvrent que la terre est entourée d’une « membrane » derrière laquelle le temps s’écoule plus vite. Qui est à l’origine de cette isolation, et surtout pourquoi ?
Beaucoup de grand thèmes de SF sont présents : premier contact, fin du monde programmée, terra-formation et colonisation de Mars, nanotechnologie, thérapie génique …
Pour moi, ce bouquin mérite amplement le prix Hugo et le GPI (prix qu’il a eu). Un auteur qui ne m’a (pour l’heure) jamais déçu.

2 mai 2012

La citation du jour


« Obsédé par le trait, je vois en chaque ride un sillon que la mort trace dans nos rêves pour y semer les graines de l’oubli » trouvé dans « Elliot du Néant » de David Calvo. Mais où sont donc passés mes antidépresseurs ?

Belle rencontre


Sèvres 2011. Marianne Leconte. Quand je pense qu’elle a côtoyé les plus grands auteurs anglo-saxons de science-fiction : Theodore Sturgeon, Robert Sheckley, Robert Silverberg… Des auteurs de la « golden age », rien que ça !
Anthologiste et directrice de collection, je lui vouerai une reconnaissance éternelle pour avoir introduit les nouvelles de Sturgeon en France ainsi que pour la collection « Titres/SF ». Elle m’a expliqué qu’elle était insomniaque et (par conséquent) qu’elle lisait un bouquin par jour (la chance !).
Je pense qu’il faut militer pour qu’elle écrive ses mémoires.
Une grande dame de la SF, vraiment une belle rencontre.

Table des matières


Dans « Les dieux eux-mêmes » d’Isaac Asimov.
Première partie : « Contre la stupidité… »
Deuxième partie : « … Les dieux eux-mêmes… »
Troisième partie : « … Luttent en vain »
Joli, non ?

1 mai 2012

Outrage et rébellion – Catherine Dufour


…Ou la naissance du punk dans un univers post-apocalyptique. La grande originalité de ce livre c’est qu’il est construit sous la forme de témoignages qui s’entrecroisent pour une narration linéaire. L’histoire suit le parcours tragique de Marquis (qui n’intervient jamais comme témoin).
Au delà de la naissance du mouvement musical, c’est une critique virulente d’une société « évoluée » divisée en castes. No future !

La citation du jour


« Première maxime : Jamais je ne blesserai Olympe, ni par mon inaction ne permettrai qu’Olympe soit blessée.
Deuxième maxime : Je suivrai les actes et paroles d’Olympe, à condition de ne point entrer en contradiction avec la première maxime.
Troisième maxime : Je garantirai mon existence afin de toujours appliquer la première et deuxième maxime. »
Bel hommage steampunk aux lois de la robotique d’Isaac Asimov de Xavier Mauméjean dans « La Vénus anatomique ».

Titres

Les auteurs de S.F. aiment parfois déconner avec les titres de leurs livres. Petite sélection :
  • Pierre Stolze : « Marilyn Monroe et les samouraïs du père Noël »
  • Pierre Stolze : « Greta Garbo et les crocodiles du père Fouettard »
  • Pierre Stolze : « Marlène Dietrich et les bretelles du père éternel »
  • Pierre Pelot : « Le chien courait sur l’autoroute en criant son nom »
  • Arcadi & Boris Srougatski : « Le lundi commence le samedi »
  • Philippe Curval : « Regarde fiston, s’il n’y a pas un extra-terrestre derrière la bouteille de vin »
  • Philippe Curval : « Debout les morts le train fantôme entre en gare ! »
  • Serge Brussolo : « Procédure d’évacuation immédiate des musées-fantômes »
  • Dominique Douay : « La fin des temps et après »
  • Douglas Adams : « Salut, et encore merci pour le poisson »
  • Vincent King : « Superclown et le serpent du temps »
  • George Alec Effinger : « Le talion du cheikh »
  • Philip Jose Farmer : « Un martien nommé Jésus »
  • Terry Pratchett : « Faust Eric »
  • Roland C. Wagner : « Celui qui bave et qui glougloute »

Women in chains – Thomas Day


Attention ! Livre à ne pas mettre entre toutes les mains ! C’est cru, c’est amoral, c’est violent, c’est dérangeant.