7 janvier 2013

Stairways to hell – Thomas Day

Mince ! J’ai 10 ans de retard sur celui-là ! Tempus fugit !
Recueil (schizophrénique ?) de 3 nouvelles, chacune relatant un parcours initiatique :
  • « Extermination highway » ou la rédemption de Thomas
  • « Dirty boulevard » ou la transgression de Thomas
  • « Punishment park » ou la descente aux enfers de Thomas
Comme l’auteur l’explique dans la préface, ces nouvelles sont exutoires. Il faut donc avoir les tripes bien accrochées pour suivre les parcours des différents Thomas. Peut-être paradoxalement, mais j’ai été moins choqué par ces nouvelles que celles de « Women in chains ».
En revanche, ce qui m’a énervé c’est quand il écrit, toujours dans la préface « Il n’y a rien de plus facile que de vider ses poches d’encre noire, c’est même, sans doute, une forme de lâcheté brutale, à la portée de tous. ». Facile ? À la portée de tous ? Là-dessus, on n’est pas d’accord !
Le titre du recueil est particulièrement bien choisi quand on connaît les controverses à propos du fameux morceau de Led Zep.
La citation du jour (tirée de la dernière nouvelle) : « Pour le souvenir que j’en ai, la pute niçoise, c’est à peu près aussi bandant que Pavarotti avec un bavoir occupé à manger des fruits de mer… »

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